Aujourd'hui, le 20 juillet est célébrée chaque année comme la Journée internationale des échecs.
Une photographie rare montre le champion du monde d'échecs Tigran Petrosyan de 1963 à 1969 et le révolutionnaire cubain Fidel Castro.
À propos de ce qu'était le grand Tigran Petrosyan .
Petrosyan a souvent délibérément donné le droit d'attaquer son adversaire, puis a habilement « éteint » son initiative. Souvent, cela avait un effet psychologique négatif sur les adversaires, et ils commençaient à jouer hors de position, voulant continuer l'attaque. Les rivaux ont admis des faiblesses dans leurs rangs, et c'est exactement ce dont Petrosyan avait besoin.
Si Petrosyan avait l'initiative, il limitait d'abord les actions des pièces ennemies et tentait de le forcer à agir au détriment de sa position. Puis il exploita habilement les faiblesses des rangs ennemis. Cependant, en dehors du travail, c’était un homme simple.
Pendant six ans, Tigran Petrosyan « s'est assis » sur le trône des échecs. En plus de l'échiquier, le grand joueur d'échecs aimait beaucoup le backgammon. C'est là que sa passion s'est manifestée, et lorsqu'il a perdu, il était inquiet et nerveux, comme si le jeu était le but de la vie. Il s'intéressait également à l'écriture de poésie. Ses principaux passe-temps étaient le football, le tennis de table, la préférence et la musique classique.
Dans la vie, Petrosyan était une personne joyeuse, gentille et sympathique. Il était fidèle à sa famille, à ses habitudes, à son club de sport, et aimait recevoir. Il chantait à merveille et connaissait bien la littérature et la peinture. Mais il aimait surtout bricoler dans le jardin. Selon son épouse Rona, Petrosyan a déclaré : « S'ils me payaient le même salaire, j'arrêterais les échecs et deviendrais jardinier. »
